Bonjour à toutes et à tous, 2018 - Maurice BELLONTE* Maurice Bellonte Aviateur Maurice Alexis Jacques Bellonte, né le 25 octobre 1896 à Méru et mort le 14 janvier 1984 dans le 16ᵉ arrondissement de Paris, est un aviateur français.
Fils d'une demoiselle Petit et d'un ouvrier coutelier, Bellonte s'intéresse très tôt à la technique. En 1910, il entre comme apprenti chez Anzani, un petit motoriste qui avait fabriqué le moteur du Blériot XI qui fut le premier avion à traverser la Manche, en 1909. En 1913, il est employé comme ajusteur chez Hispano-Suiza. En 1916, âgé de vingt ans, il est diplômé ingénieur mécanicien. Il fait la Première Guerre mondiale dans l'aviation. En 1918, il sert comme mitrailleur.
Au premier plan, le Breguet XIX Point d'interrogation de Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, Musée de l'air et de l'espace, Le Bourget. Après l'Armistice, il termine son service militaire au Maroc, où il apprend les rudiments du pilotage. Démobilisé, il retrouve son poste chez Hispano, puis entre à la compagnie Franco-Colombienne qui fabrique des hydroglisseurs. Il est mécanicien, puis navigateur sur les premières lignes aériennes après la fin de la grande guerre.
Bonjour à toutes et à tous,
RépondreSupprimer2018 - Maurice BELLONTE*
Maurice Bellonte
Aviateur
Maurice Alexis Jacques Bellonte, né le 25 octobre 1896 à Méru et mort le 14 janvier 1984 dans le 16ᵉ arrondissement de Paris, est un aviateur français.
Fils d'une demoiselle Petit et d'un ouvrier coutelier, Bellonte s'intéresse très tôt à la technique. En 1910, il entre comme apprenti chez Anzani, un petit motoriste qui avait fabriqué le moteur du Blériot XI qui fut le premier avion à traverser la Manche, en 1909. En 1913, il est employé comme ajusteur chez Hispano-Suiza. En 1916, âgé de vingt ans, il est diplômé ingénieur mécanicien. Il fait la Première Guerre mondiale dans l'aviation. En 1918, il sert comme mitrailleur.
RépondreSupprimerAu premier plan, le Breguet XIX Point d'interrogation de Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, Musée de l'air et de l'espace, Le Bourget.
Après l'Armistice, il termine son service militaire au Maroc, où il apprend les rudiments du pilotage. Démobilisé, il retrouve son poste chez Hispano, puis entre à la compagnie Franco-Colombienne qui fabrique des hydroglisseurs. Il est mécanicien, puis navigateur sur les premières lignes aériennes après la fin de la grande guerre.