La France et le régime de non-prolifération chimique La France s’est, de façon ancienne et durable, engagée dans la lutte contre les armes chimiques. Elle est notamment dépositaire du Protocole de 1925 sur la prohibition d’emploi à la guerre d’armes chimiques ou bactériologiques. En 1996, elle a levé les réserves relatives à la possibilité d’emploi en représailles qu’elle avait apposées lors de la ratification du Protocole. Elle a en outre relancé les négociations de la Conférence du désarmement en 1989, qui ont débouché sur la signature, à Paris, de la Convention pour l’interdiction des armes chimiques le 15 janvier 1993.
La France se donne les moyens de se prémunir contre les conséquences d’une attaque chimique en travaillant à des mesures de protection contre ces armes et leurs effets, pour assurer la protection physique et médicale des populations et des forces armées.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
Le Cercle - Chimique
La France et le régime de non-prolifération chimique
RépondreSupprimerLa France s’est, de façon ancienne et durable, engagée dans la lutte contre les armes chimiques. Elle est notamment dépositaire du Protocole de 1925 sur la prohibition d’emploi à la guerre d’armes chimiques ou bactériologiques. En 1996, elle a levé les réserves relatives à la possibilité d’emploi en représailles qu’elle avait apposées lors de la ratification du Protocole. Elle a en outre relancé les négociations de la Conférence du désarmement en 1989, qui ont débouché sur la signature, à Paris, de la Convention pour l’interdiction des armes chimiques le 15 janvier 1993.
La France se donne les moyens de se prémunir contre les conséquences d’une attaque chimique en travaillant à des mesures de protection contre ces armes et leurs effets, pour assurer la protection physique et médicale des populations et des forces armées.
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