Bonjour à toutes et tous, je vous présente… 2020 - Appel du 18 Juin, Ali, ils l'ont trahi et désavoué. Depuis plus de deux mois je ne comprenais pas son absence, son problème téléphonique, les commandes du dimanche à passer sur un autre téléphone, les rires et plaisanteries sournoises et diffamantes…
D'abord, ils ont menti sur son statut… Pendant six semaines, les commandes passées auparavant sur son téléphone sont devenues des commandes passées sur un autre téléphone… Avec toujours autour des plaisanteries sournoises et diffamantes…
Pour commencer, remontons dans le temps au moment ou le maire de la ville avait décidé de réaménager le carré militaire et les “tombes individuelles” de nos poilus morts pour la France… Sans avoir écrit aux familles et demander leur avis.
Arriva ensuite le moment ou les services culturels de la ville me sollicitaient connaissant les différentes expositions sur le thème que j’avais réalisé dans des villes voisines,
Contact est pris, je me mets en batterie et prépare une exposition avec des nouveautés picturales exprimant les quatre saisons et cent ans d’oubli «Largement couvert par plusieurs portraits de civils massacrés en Août 1914, notamment dans une ville située sur la première bataille des frontières “Rossignol, au Luxembourg Belge” Ville martyr parmi d’autres avec un ensemble de 5500 civils tués au tout début du conflit.
Pour rappel, le 22 Août 1914, la journée la plus meurtrière du début de la guerre, 27.000 soldats français tués par la mitraille allemande dont mon arrière grand-père Francois Marie Le TOQUIN du 2ème RIC, parti depuis BREST. 7.000 morts côté Français pour la seule bataille qui se déroula autour du village belge de Rossignol: c’est autant de soldats français tués en un jour que durant toute la guerre d’Algérie de 1954 à 1962.
Après avoir établi en accord avec ceux qui me recevaient, les modalités, l’organisation d’installation à venir, tout est OK. Ombre sur le tableau, l’élue à la culture me fait part de mon absence sur le Salon du CESAF qu’elle me reprochait, j’étais déjà pour la période présent à Attis-Mons, Au musée de l’Aviation, à BRUNOY et à Villeneuve-le-roi…
Suite… Après avoir posé mes tableaux sur les murs, 80 au bas mot… l’arrivée impromptue d’un individu ni cité dans les articles de la ville, ni invité, ni même présenté par le service culturel comme important… à la bonne compréhension des pages d’histoire présentées et reconnues au travers de mes peintures et de mers prestations…
Comment expliquer une pareille atitute de la part de cet individu déposant sur une grille à l’arrache deux toiles très moyennes réalisées par une amie à lui ou encore une connaissance au titre de se faire mousser à ses yeux en lui indiquant que bientôt il aura d’autres responsabilités ? Les toiles en question figurèrent juste en face de mon travail sur Rossignol, tel un reflet de l’usurpation sur le peuple. Belge. “Cent ans d’oubli”. Le respect pour certains n’existe pas.
Les doigts posés devant la bouche, ceux là-même qui m’avaient invités, la frayeur de cette insulte aux conventions mêmes de cet espace culturel et aux lois culturelles, aux règles de droit*.
Novembre 2018, Le respect est une valeur "Pour ceux qui le comprennent”
Pour finir, le jour du vernissage fût ce qui acheva une pitrerie, en laissant apparaître aux yeux des personnes présentes amis et connaissances du milieu des arts et de la culture, de l’histoire, la faute de l’un et le mépris du maire qui ne me laissa pas le micro pour mon propre discours en le posant devant tous et toutes, médusés… On fait taire des gens qui ont tant à dire…
La suite fût le démontage de l’expo, la venue de l’individu récupérant les deux toiles, m’appelant Maître et laissant apparaître à une centaine de mètres, la dite amie dévoilée à mes yeux…
Dés le lendemain, je criais mon désarroi de manière à laisser entendre au maire et à ses élus. Au pénal, l’usurpation est une faute. Rien n’a suivi. Tout a été tu. L’individu est même devenu “conseiller artistique”, drôlerie croissante, non !
Des travaux importants entament la rue commerciale de la ville, des trous profonds gênent les commerces et la libre circulation des véhicules et des habitants.
Le premier confinement et la politique, élections municipales
La disparition d’Ali, l’épicier Arabe, demande de ma part à de multiples fois ce qu’il advenait de Ali, sourires entendus et bravades, pas de réponses durant presque deux mois jusqu’au jour ou un autre arabe seul dans la boutique ne me répondra pas plus et indiquera que j’avais fait un scandale en demandant à trois reprises les mêmes questions, et si il y a un scandale c’est plutôt la ville qui porte et couvre un scandale (Protégeant les élections départementales) En sortant je relevais une femme tombée dans les gravas du chantier devant un peu plus loin dans la plus grande indifférence . L’associé d’Ali téléphonera à une certaine Mme F. “Front National”, adjointe à la mairie.
L’affaire d’une arnaque commerciale engendrée par (prise de mes mains pour passer commande sur un autre appareil) l’associé d’Ali. La police n’a pas son nom de famille et c’est bien la seule chose qui manque pour une plainte…
Pour protéger les faits ci-dessus, le maire cache quelque chose, D’autant qu’une sale affaire lui polluerait sa campagne à la députation, malgré tout, des bandes entre Orly ville et Villeneuve-le-Roi s’affrontent ouvertement en ville.
A la suite de ça, élections municipales… le vote électronique et ses mystères (pas pour des informaticiens qui savent que ce n’est pas très clair)… Avec le confinement, 38% de votants seulement, un informaticien, ami du maire, pas d’huissier, le Maire passe au premier avec 59,16% de suffrages, 2695 votes.
Affaire de ma belle-mère, 36, avenue Pasteur à Villleneuve-Le-Roi Décès de cette dernière le 11 Mai 2020, Moins d’un mois plus tard, on retrouve devant sa maison un emplacement handicapé, suite à un arrêté du maire… Je file en mairie et leur demande de revoir leur copie, la personne qui me reçoit m’indique qu’il signe une centaine d’arrêts par mois, je soupire et fais un trait d’humour, le numéro de rue n’était pas le bon, “En face du 36”, il n’y a pas de numéro sur l’autre trottoir…
A la suite de ça j’entends qu’ils veulent m’envoyer en prison, pour des gens contre qui tout joue. Affaires, magouilles, malfaçons, mensonges et calomnie…
La petite dernière, c’est également une offense faite à mes parents sur leurs comptes bancaires, clients depuis toujours dans cette banque, comptes fermés… Ma mère s’est retrouvée à l’hôpital victime de leurs agissements et de leur mauvaise foi “Syndrome confusionnel”… Accompagnant mon père afin de déposer une plainte au commissariat de Villeneuve-Le Roi, ces derniers n’ont pas voulu la prendre, prétextant que la banque pouvait faire ce qu’elle veut, ils sont placés en face de la banque, des voisins en quelque sorte…
L'histoire ne fait que continuer et s'ouvre désormais vers une affaire des plus troublantes… A la suite de ceci en journée 2, Nous filons avec mon père à Choisy-le-Roi, ville voisine, déposer une plainte au commissariat… Ce dernier est en travaux et nous ne pouvons de ce fait pas être reçus par un OPJ… C'est un brigadier qui nous accueillera derrière les grilles, et qui nous expliquera comment rédiger une plaine par le internet, une pré-plainte qu'il faudra dans les 5 à 7 jours suivants venir signer au même commissariat… Sur Internet, avec mon père âgé de 83 ans, nous allons suivre à la lettre le document, le remplir, puis le poster… 3ème acte, dés le lendemain, une femme appelle mon père en lui précisant que sa plainte ne sera pas suivie et prise en compte.
Suite Affaire BICS… nous avions rdv hier après-midi avec la directrice de l’agence BICS, je dis nous parce que je n’allais pas laisser mon père seul dans la tourmente. Reçus par cette dernière pas très alaise nous indiquant que la personne qui a mis mes parents dans l’embarras a été viré pour faute grave soulignant qu’il était père avec un crédit sur un bien acheté « hors sujet, nous n’allions pas versé une larme pour un individu pareil alors que ma mère a subi un véritable traumatisme »
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
2020 - Appel du 18 Juin,
Ali, ils l'ont trahi et désavoué.
Depuis plus de deux mois je ne comprenais pas son absence, son problème téléphonique, les commandes du dimanche à passer sur un autre téléphone, les rires et plaisanteries sournoises et diffamantes…
Ali va bien, nous nous sommes eu au téléphone, ses lectures, son amie et sa philosophie l'ont sorti de cette période difficile et anxiogène…
RépondreSupprimerD'abord, ils ont menti sur son statut…
RépondreSupprimerPendant six semaines, les commandes passées auparavant sur son téléphone sont devenues des commandes passées sur un autre téléphone… Avec toujours autour des plaisanteries sournoises et diffamantes…
Les faits
RépondreSupprimerPour commencer, remontons dans le temps au moment ou le maire de la ville avait décidé de réaménager le carré militaire et les “tombes individuelles” de nos poilus morts pour la France…
Sans avoir écrit aux familles et demander leur avis.
Arriva ensuite le moment ou les services culturels de la ville me sollicitaient connaissant les différentes expositions sur le thème que j’avais réalisé dans des villes voisines,
Contact est pris, je me mets en batterie et prépare une exposition avec des nouveautés picturales exprimant les quatre saisons et cent ans d’oubli «Largement couvert par plusieurs portraits de civils massacrés en Août 1914, notamment dans une ville située sur la première bataille des frontières “Rossignol, au Luxembourg Belge” Ville martyr parmi d’autres avec un ensemble de 5500 civils tués au tout début du conflit.
Pour rappel, le 22 Août 1914, la journée la plus meurtrière du début de la guerre, 27.000 soldats français tués par la mitraille allemande dont mon arrière grand-père Francois Marie Le TOQUIN du 2ème RIC, parti depuis BREST. 7.000 morts côté Français pour la seule bataille qui se déroula autour du village belge de Rossignol: c’est autant de soldats français tués en un jour que durant toute la guerre d’Algérie de 1954 à 1962.
Après avoir établi en accord avec ceux qui me recevaient, les modalités, l’organisation d’installation à venir, tout est OK. Ombre sur le tableau, l’élue à la culture me fait part de mon absence sur le Salon du CESAF qu’elle me reprochait, j’étais déjà pour la période présent à Attis-Mons, Au musée de l’Aviation, à BRUNOY et à Villeneuve-le-roi…
Suite…
RépondreSupprimerAprès avoir posé mes tableaux sur les murs, 80 au bas mot… l’arrivée impromptue d’un individu ni cité dans les articles de la ville, ni invité, ni même présenté par le service culturel comme important… à la bonne compréhension des pages d’histoire présentées et reconnues au travers de mes peintures et de mers prestations…
Comment expliquer une pareille atitute de la part de cet individu déposant sur une grille à l’arrache deux toiles très moyennes réalisées par une amie à lui ou encore une connaissance au titre de se faire mousser à ses yeux en lui indiquant que bientôt il aura d’autres responsabilités ?
Les toiles en question figurèrent juste en face de mon travail sur Rossignol, tel un reflet de l’usurpation sur le peuple. Belge. “Cent ans d’oubli”. Le respect pour certains n’existe pas.
Les doigts posés devant la bouche, ceux là-même qui m’avaient invités, la frayeur de cette insulte aux conventions mêmes de cet espace culturel et aux lois culturelles, aux règles de droit*.
Novembre 2018, Le respect est une valeur "Pour ceux qui le comprennent”
RépondreSupprimerPour finir, le jour du vernissage fût ce qui acheva une pitrerie, en laissant apparaître aux yeux des personnes présentes amis et connaissances du milieu des arts et de la culture, de l’histoire, la faute de l’un et le mépris du maire qui ne me laissa pas le micro pour mon propre discours en le posant devant tous et toutes, médusés… On fait taire des gens qui ont tant à dire…
La suite fût le démontage de l’expo, la venue de l’individu récupérant les deux toiles, m’appelant Maître et laissant apparaître à une centaine de mètres, la dite amie dévoilée à mes yeux…
Dés le lendemain, je criais mon désarroi de manière à laisser entendre au maire et à ses élus. Au pénal, l’usurpation est une faute. Rien n’a suivi. Tout a été tu.
L’individu est même devenu “conseiller artistique”, drôlerie croissante, non !
Des travaux importants entament la rue commerciale de la ville, des trous profonds gênent les commerces et la libre circulation des véhicules et des habitants.
Le premier confinement et la politique, élections municipales
La disparition d’Ali, l’épicier Arabe, demande de ma part à de multiples fois ce qu’il advenait de Ali, sourires entendus et bravades, pas de réponses durant presque deux mois jusqu’au jour ou un autre arabe seul dans la boutique ne me répondra pas plus et indiquera que j’avais fait un scandale en demandant à trois reprises les mêmes questions, et si il y a un scandale c’est plutôt la ville qui porte et couvre un scandale (Protégeant les élections départementales) En sortant je relevais une femme tombée dans les gravas du chantier devant un peu plus loin dans la plus grande indifférence . L’associé d’Ali téléphonera à une certaine Mme F. “Front National”, adjointe à la mairie.
L’affaire d’une arnaque commerciale engendrée par (prise de mes mains pour passer commande sur un autre appareil) l’associé d’Ali. La police n’a pas son nom de famille et c’est bien la seule chose qui manque pour une plainte…
Pour protéger les faits ci-dessus, le maire cache quelque chose, D’autant qu’une sale affaire lui polluerait sa campagne à la députation, malgré tout, des bandes entre Orly ville et Villeneuve-le-Roi s’affrontent ouvertement en ville.
A la suite de ça, élections municipales… le vote électronique et ses mystères (pas pour des informaticiens qui savent que ce n’est pas très clair)… Avec le confinement, 38% de votants seulement, un informaticien, ami du maire, pas d’huissier, le Maire passe au premier avec 59,16% de suffrages, 2695 votes.
Affaire de ma belle-mère, 36, avenue Pasteur à Villleneuve-Le-Roi
Décès de cette dernière le 11 Mai 2020, Moins d’un mois plus tard, on retrouve devant sa maison un emplacement handicapé, suite à un arrêté du maire… Je file en mairie et leur demande de revoir leur copie, la personne qui me reçoit m’indique qu’il signe une centaine d’arrêts par mois, je soupire et fais un trait d’humour, le numéro de rue n’était pas le bon, “En face du 36”, il n’y a pas de numéro sur l’autre trottoir…
A la suite de ça j’entends qu’ils veulent m’envoyer en prison, pour des gens contre qui tout joue. Affaires, magouilles, malfaçons, mensonges et calomnie…
La petite dernière, c’est également une offense faite à mes parents sur leurs comptes bancaires, clients depuis toujours dans cette banque, comptes fermés… Ma mère s’est retrouvée à l’hôpital victime de leurs agissements et de leur mauvaise foi “Syndrome confusionnel”… Accompagnant mon père afin de déposer une plainte au commissariat de Villeneuve-Le Roi, ces derniers n’ont pas voulu la prendre, prétextant que la banque pouvait faire ce qu’elle veut, ils sont placés en face de la banque, des voisins en quelque sorte…
L'histoire ne fait que continuer et s'ouvre désormais vers une affaire des plus troublantes…
RépondreSupprimerA la suite de ceci en journée 2, Nous filons avec mon père à Choisy-le-Roi, ville voisine, déposer une plainte au commissariat… Ce dernier est en travaux et nous ne pouvons de ce fait pas être reçus par un OPJ… C'est un brigadier qui nous accueillera derrière les grilles, et qui nous expliquera comment rédiger une plaine par le internet, une pré-plainte qu'il faudra dans les 5 à 7 jours suivants venir signer au même commissariat…
Sur Internet, avec mon père âgé de 83 ans, nous allons suivre à la lettre le document, le remplir, puis le poster…
3ème acte, dés le lendemain, une femme appelle mon père en lui précisant que sa plainte ne sera pas suivie et prise en compte.
Suite Affaire BICS…
RépondreSupprimernous avions rdv hier après-midi avec la directrice de l’agence BICS, je dis nous parce que je n’allais pas laisser mon père seul dans la tourmente. Reçus par cette dernière pas très alaise nous indiquant que la personne qui a mis mes parents dans l’embarras a été viré pour faute grave soulignant qu’il était père avec un crédit sur un bien acheté « hors sujet, nous n’allions pas versé une larme pour un individu pareil alors que ma mère a subi un véritable traumatisme »