dimanche 7 février 2021

2021 - CORONAVIRUS - BONAPARTE et les protectrices*

Les femmes dans les armées de…


5 commentaires:

  1. Bonjour à toutes et tous,
    je vous présente…
    CORONAVIRUS - Bonaparte et les protectrices dans l'armée de Napoléon*

    Vivandières, cantinières et blanchisseuses

    Au premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.

    RépondreSupprimer
  2. Un décret de 1810, leur donne droit, en temps de guerre, aux soins gratuits dans les hôpitaux militaires, remboursement des frais étant effectués par leur corps d’origine.

    Leur nombre a été fixé par un arrêté de l’An VIII qui prescrit par ailleurs que ces femmes doivent être des citoyennes de bonnes manières, mariées à des soldats ou sous-officiers en activité de service, reconnues les plus actives, les plus utiles aux troupes, et « dont la conduite et les mœurs est des plus régulières. »

    RépondreSupprimer
  3. Les cantinières et vivandières n'ont jamais eu d'uniforme établit par les règlements ; il faudra attendre l'époque Louis-Philippe et le Second-Empire pour voir apparaître des "tenues de corps". Ce n'est vraiment sous la Ille république que ces dames auront une tenue réglementée.
    De la Révolution à l'Empire, cantinières et vivandières auront des tenues civiles agrémentées parfois d'éléments militaires comme des bottes. des guêtres, un bonnet de police, voir une pelisse.

    RépondreSupprimer
  4. es combattantes parfois héroïques
    Sans entrer dans le domaine particulier des femmes soldats (principalement sous la période révolutionnaire). certaines cantinières ou vivandières eurent parfois des actions héroïques ou payèrent de leur vie leur dévouement. Tous les amateurs de l'épopée connaissent le tableau de Leieune sur la bataille de Chiclana où l'on voit Catherine Baland cantinière au 95e distribuer de l'eau-de-vie aux soldats elle reçut la croix en 1813.
    Cazajus, cantinière au 57e, qui se distingue le 5 juin 1807 à l'attaque de Lomitten en allant distribuer sous une grêle de balles deux barils d'eau-de-vie à nos soldats. Marie Dauranne, blanchisseuse â la 51e demi-brigade qui, le 21 décembre 1796, sauve un soldat de la noyade en se jetant à l'eau.
    On pourrait en citer encore de nombreuses, l'article serait bien trop long !
    A une époque ou le courage était une chose banale, il convenait de rappeler que celui-ci n'était pas exclusivement l'apanage du sexe fort.

    RépondreSupprimer
  5. Des femmes, bien de chez nous celles-là, partageaient la vie quotidienne des soldats. Au premier rang, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d'autre tendre sentiment que la reconnaissance. Nous avons nommé les cantinières et les vivandières.

    RépondreSupprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.