Au premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.
Les cantinières et vivandières n'ont jamais eu d'uniforme établit par les règlements ; il faudra attendre l'époque Louis-Philippe et le Second-Empire pour voir apparaître des "tenues de corps". Ce n'est vraiment sous la Ille république que ces dames auront une tenue réglementée. De la Révolution à l'Empire, cantinières et vivandières auront des tenues civiles agrémentées parfois d'éléments militaires comme des bottes. des guêtres, un bonnet de police, voir une pelisse.
Des combattantes parfois héroïques Sans entrer dans le domaine particulier des femmes soldats (principalement sous la période révolutionnaire). certaines cantinières ou vivandières eurent parfois des actions héroïques ou payèrent de leur vie leur dévouement. Tous les amateurs de l'épopée connaissent le tableau de Leieune sur la bataille de Chiclana où l'on voit Catherine Baland cantinière au 95e distribuer de l'eau-de-vie aux soldats elle reçut la croix en 1813. Cazajus, cantinière au 57e, qui se distingue le 5 juin 1807 à l'attaque de Lomitten en allant distribuer sous une grêle de balles deux barils d'eau-de-vie à nos soldats. Marie Dauranne, blanchisseuse â la 51e demi-brigade qui, le 21 décembre 1796, sauve un soldat de la noyade en se jetant à l'eau. On pourrait en citer encore de nombreuses, l'article serait bien trop long ! A une époque ou le courage était une chose banale, il convenait de rappeler que celui-ci n'était pas exclusivement l'apanage du sexe fort.
Six lecteurs du Parisien, âgés de 21 à 74 ans, ont posé des questions au ministre de la Santé ce samedi. Est venue sur la table, la question de la reprise de l'épidémie au mois de mars et de potentiels aménagements des vacances de février. "Je ne sais pas qui vous annonce une grande épidémie en mars ! Aucune décision n'a été entérinée pour aménager les vacances", explique le ministre.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
CORONAVIRUS - Carré Vivandière*
Vivandières, cantinières et blanchisseuses
RépondreSupprimerAu premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.
Les cantinières et vivandières n'ont jamais eu d'uniforme établit par les règlements ; il faudra attendre l'époque Louis-Philippe et le Second-Empire pour voir apparaître des "tenues de corps". Ce n'est vraiment sous la Ille république que ces dames auront une tenue réglementée.
RépondreSupprimerDe la Révolution à l'Empire, cantinières et vivandières auront des tenues civiles agrémentées parfois d'éléments militaires comme des bottes. des guêtres, un bonnet de police, voir une pelisse.
Des combattantes parfois héroïques
RépondreSupprimerSans entrer dans le domaine particulier des femmes soldats (principalement sous la période révolutionnaire). certaines cantinières ou vivandières eurent parfois des actions héroïques ou payèrent de leur vie leur dévouement. Tous les amateurs de l'épopée connaissent le tableau de Leieune sur la bataille de Chiclana où l'on voit Catherine Baland cantinière au 95e distribuer de l'eau-de-vie aux soldats elle reçut la croix en 1813.
Cazajus, cantinière au 57e, qui se distingue le 5 juin 1807 à l'attaque de Lomitten en allant distribuer sous une grêle de balles deux barils d'eau-de-vie à nos soldats. Marie Dauranne, blanchisseuse â la 51e demi-brigade qui, le 21 décembre 1796, sauve un soldat de la noyade en se jetant à l'eau.
On pourrait en citer encore de nombreuses, l'article serait bien trop long !
A une époque ou le courage était une chose banale, il convenait de rappeler que celui-ci n'était pas exclusivement l'apanage du sexe fort.
Six lecteurs du Parisien, âgés de 21 à 74 ans, ont posé des questions au ministre de la Santé ce samedi. Est venue sur la table, la question de la reprise de l'épidémie au mois de mars et de potentiels aménagements des vacances de février. "Je ne sais pas qui vous annonce une grande épidémie en mars ! Aucune décision n'a été entérinée pour aménager les vacances", explique le ministre.
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