Napoléon part à bord du HMS NORTHUMBERLAND, à destination de l’Atlantique Sud et de Sainte-Hélène, «petite île» comme l’avait écrit le jeune Bonaparte sur son manuel de géographie au collège de Brienne. Un voyage et une détention qui s’effectuent au mépris des lois et du droit. Mais la France de Louis XVIII n’a guère intérêt а défendre les intérêts du plus encombrant de ses ressortissant.
Arrivé au port de Plymouth, il apprend le 31 juillet 1815 qu’il sera finalement exilé à Sainte-Hélène, une petite île sous domination anglaise en plein coeur de l’océan Atlantique. Le 7 août, Napoléon embarque sur un nouveau navire, le Northumberland, et quitte les eaux britanniques le 9 août. Après un voyage de plusieurs mois, il débarque à Sainte-Hélène le 15 octobre 1815.
La vie à Sainte-Hélène Une vingtaine de personnes suivent Napoléon dans cet exil. Il y a là le général et grand maréchal du Palais Bertrand, (avec sa femme Fanny et leurs trois enfants), le général de Montholon (avec sa femme Albine et leur fils), le général Gourgaud, et le comte Las Cases (le seul homme à parler parfaitement anglais) avec son fils. Parmi les domestiques, figurent son premier valet de chambre Louis Marchand, Louis Etienne Saint-Denis (appelé le mamelouk Ali), et son maître d’hôtel « un peu espion » Cipriani qui connaît Napoléon depuis l’enfance. Malgré les restrictions anglaises, Napoléon peut emporter avec lui un peu de mobilier et de vaisselle issus des palais impériaux, ainsi que des tableaux et souvenirs de sa famille, comme un portrait de son fils, le roi de Rome.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
Napoléon part à bord du HMS NORTHUMBERLAND, à destination de l’Atlantique Sud et de Sainte-Hélène, «petite île» comme l’avait écrit le jeune Bonaparte sur son manuel de géographie au collège de Brienne. Un voyage et une détention qui s’effectuent au mépris des lois et du droit. Mais la France de Louis XVIII n’a guère intérêt а défendre les intérêts du plus encombrant de ses ressortissant.
Arrivé au port de Plymouth, il apprend le 31 juillet 1815 qu’il sera finalement exilé à Sainte-Hélène, une petite île sous domination anglaise en plein coeur de l’océan Atlantique. Le 7 août, Napoléon embarque sur un nouveau navire, le Northumberland, et quitte les eaux britanniques le 9 août. Après un voyage de plusieurs mois, il débarque à Sainte-Hélène le 15 octobre 1815.
La vie à Sainte-Hélène
RépondreSupprimerUne vingtaine de personnes suivent Napoléon dans cet exil. Il y a là le général et grand maréchal du Palais Bertrand, (avec sa femme Fanny et leurs trois enfants), le général de Montholon (avec sa femme Albine et leur fils), le général Gourgaud, et le comte Las Cases (le seul homme à parler parfaitement anglais) avec son fils. Parmi les domestiques, figurent son premier valet de chambre Louis Marchand, Louis Etienne Saint-Denis (appelé le mamelouk Ali), et son maître d’hôtel « un peu espion » Cipriani qui connaît Napoléon depuis l’enfance. Malgré les restrictions anglaises, Napoléon peut emporter avec lui un peu de mobilier et de vaisselle issus des palais impériaux, ainsi que des tableaux et souvenirs de sa famille, comme un portrait de son fils, le roi de Rome.