Bataille de Marengo 14 juin 1800 La bataille de Marengo vit s'opposer le 14 juin 1800 une force française commandée par le général Napoléon Bonaparte, alors Premier consul, à l'armée impériale du Saint-Empire sous la direction du feld-maréchal baron Michael Friedrich Benedikt von Melas à Marengo, à proximité d'Alexandrie, dans le Piémont.
Cette bataille se termine par une défaite des Impériaux.
Les Impériaux tentent de profiter de l'allongement des lignes françaises, occupées à rechercher leur adversaire après la bataille de Montebello, pour traverser l'armée française. Les troupes des généraux Victor et Jean Lannes, obligées de faire retraite devant le gros de l'armée de Melas qui les attaque par surprise, sont soutenues en milieu de journée par les troupes que Bonaparte mène à leur secours. En fin de journée, l'arrivée des cavaliers du général Desaix permet aux Français, fort mal en point, de faire basculer l'issue de la bataille en leur faveur, au point de transformer leur retraite en déroute des Impériaux.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
Napoléon Bonaparte à MARENGO Aplats NB*
Bataille de Marengo
RépondreSupprimer14 juin 1800
La bataille de Marengo vit s'opposer le 14 juin 1800 une force française commandée par le général Napoléon Bonaparte, alors Premier consul, à l'armée impériale du Saint-Empire sous la direction du feld-maréchal baron Michael Friedrich Benedikt von Melas à Marengo, à proximité d'Alexandrie, dans le Piémont.
Cette bataille se termine par une défaite des Impériaux.
RépondreSupprimerLes Impériaux tentent de profiter de l'allongement des lignes françaises, occupées à rechercher leur adversaire après la bataille de Montebello, pour traverser l'armée française. Les troupes des généraux Victor et Jean Lannes, obligées de faire retraite devant le gros de l'armée de Melas qui les attaque par surprise, sont soutenues en milieu de journée par les troupes que Bonaparte mène à leur secours. En fin de journée, l'arrivée des cavaliers du général Desaix permet aux Français, fort mal en point, de faire basculer l'issue de la bataille en leur faveur, au point de transformer leur retraite en déroute des Impériaux.