Assourdissants solos de «tap dance», où l’énergie et la grâce s’appuient sur une technique impeccable. Et pourtant, Eleanor Powell, née le 21 novembre 1912 à Springfield, dans le Massachusetts, ne s’est guère entraînée à cette forme de danse, mais plutôt, dès l’enfance, au ballet classique. Mais, à la fin des années 1920, elle se produit à New York, et c’est bien assez, avec le plus éminent danseur de claquettes de tous les temps, le grand Bill Bojangles Robinson. Et dès lors, c’est bien son staccato de claquettes, façon rafale de mitraillette, qui la fait connaître à Broadway, dans des revues comme «Follow thru» (1929), avec Katherine Cornell, «Fine and Dandy» (1930), sur une musique de Hans Spialek ou «Hot- cha!» (1932), produit par le légendaire Florenz Ziegfeld.
Assourdissants solos de «tap dance», où l’énergie et la grâce s’appuient sur une technique impeccable. Et pourtant, Eleanor Powell, née le 21 novembre 1912 à Springfield, dans le Massachusetts, ne s’est guère entraînée à cette forme de danse, mais plutôt, dès l’enfance, au ballet classique. Mais, à la fin des années 1920, elle se produit à New York, et c’est bien assez, avec le plus éminent danseur de claquettes de tous les temps, le grand Bill Bojangles Robinson. Et dès lors, c’est bien son staccato de claquettes, façon rafale de mitraillette, qui la fait connaître à Broadway, dans des revues comme «Follow thru» (1929), avec Katherine Cornell, «Fine and Dandy» (1930), sur une musique de Hans Spialek ou «Hot- cha!» (1932), produit par le légendaire Florenz Ziegfeld.
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