Armand, Jean, Galliot, Joseph de Turenne voit le jour dans la ville du Mans le 2 avril 1891 dans une illustre famille aristocratique descendante du célèbre maréchal de Louis XIV. Son père, qui a le titre de Marquis d’Aubepeyre, sert comme lieutenant au 104e régiment d’infanterie encaserné au Mans. L’enfance du jeune garçon va être marquée par une tragédie quand sa mère décède quatre mois après sa naissance. Son père se remarie et le jeune Armand va grandir avec une demi-sœur dans les diverses villes de garnison où sera muté son père. Il peut effectuer des études et obtient son baccalauréat. Une fois passé son 18e anniversaire, il décide de suivre la tradition familiale et s’engage en 1909 dans l’armée à la Mairie de Béziers, en tant que simple soldat au 10e régiment de Chasseurs encaserné dans cette ville. Il y servira durant tout son contrat de 3 ans et y sera nommé au grade de maréchal des logis. Après ce contrat, il « rempile » pour un autre engagement en 1912 et sert cette fois-ci au 21e régiment de Dragons à St Omer, où il prépare le concours d’entrée à l’école d’officiers de cavalerie, concours qu’il réussit en 1914. 15 victoires sûres (dont 2 drachens), 5 victoires probables.
Armand, Jean, Galliot, Joseph de Turenne voit le jour dans la ville du Mans le 2 avril 1891 dans une illustre famille aristocratique descendante du célèbre maréchal de Louis XIV. Son père, qui a le titre de Marquis d’Aubepeyre, sert comme lieutenant au 104e régiment d’infanterie encaserné au Mans. L’enfance du jeune garçon va être marquée par une tragédie quand sa mère décède quatre mois après sa naissance. Son père se remarie et le jeune Armand va grandir avec une demi-sœur dans les diverses villes de garnison où sera muté son père. Il peut effectuer des études et obtient son baccalauréat.
RépondreSupprimerUne fois passé son 18e anniversaire, il décide de suivre la tradition familiale et s’engage en 1909 dans l’armée à la Mairie de Béziers, en tant que simple soldat au 10e régiment de Chasseurs encaserné dans cette ville. Il y servira durant tout son contrat de 3 ans et y sera nommé au grade de maréchal des logis. Après ce contrat, il « rempile » pour un autre engagement en 1912 et sert cette fois-ci au 21e régiment de Dragons à St Omer, où il prépare le concours d’entrée à l’école d’officiers de cavalerie, concours qu’il réussit en 1914.
15 victoires sûres (dont 2 drachens), 5 victoires probables.