La cantinière est l’épouse du cantinier, marchand de comestibles. Tous deux suivent l’armée, s’établissant au besoin dans les places principales. Hélas pour elles, on a le plus souvent oublié le nom de ces femmes, au profit de celui des vivandières.
L'hermine, symbole historique breton Pureté morale, agilité, intelligence et innocence sont associées à ce petit animal au pelage blanc… C'est Pierre de Dreux (1187-1250), duc de Bretagne, qui ajouta en premier l'animal au blason de son père en écho au lys français.
Vivandières, cantinières et blanchisseuses Au premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.
Femmes dans l'armée napoléonienne Vivandières, cantinières, blanchisseuses, prostituées... Les femmes font pleinement partie de la Grande Armée. Incorporées dans les unités ou proposant leurs services aux troupes de passage, ces femmes améliorent le bien-être du soldat parti bien loin de sa famille.
La cantinière est l’épouse du cantinier, marchand de comestibles. Tous deux suivent l’armée, s’établissant au besoin dans les places principales. Hélas pour elles, on a le plus souvent oublié le nom de ces femmes, au profit de celui des vivandières.
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RépondreSupprimerPureté morale, agilité, intelligence et innocence sont associées à ce petit animal au pelage blanc… C'est Pierre de Dreux (1187-1250), duc de Bretagne, qui ajouta en premier l'animal au blason de son père en écho au lys français.
Vivandières, cantinières et blanchisseuses
RépondreSupprimerAu premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.
Femmes dans l'armée napoléonienne
RépondreSupprimerVivandières, cantinières, blanchisseuses, prostituées... Les femmes font pleinement partie de la Grande Armée. Incorporées dans les unités ou proposant leurs services aux troupes de passage, ces femmes améliorent le bien-être du soldat parti bien loin de sa famille.