Dans l’enfer et le bruit Violences des combats, le déchaînement de l’armement
Au cours de la Grande Guerre, les formes de la violence de combat ont subi une rapide et profonde mutation qui devait orienter durablement les modalités de l’affrontement guerrier au cours du XXe siècle et, au-delà, modifier de fond en comble la relation des Occidentaux à l’activité guerrière proprement dite.
C’est dire toute l’importance des violences de champ de bataille et de leur évolution en 1914-1918, elles-mêmes inséparables de leur perception dans l’instant, puis de leur mémoire après l’armistice du 11 novembre 1918.
Au cours des mois d’août et septembre 1914, à l’Est comme à l’Ouest de cette première phase de la guerre, la sous-estimation des effets du feu fut particulièrement déterminante : elle explique les pertes effroyables des premières semaines de combat…
Dans l’enfer et le bruit
RépondreSupprimerViolences des combats, le déchaînement de l’armement
Au cours de la Grande Guerre, les formes de la violence de combat ont subi une rapide et profonde mutation qui devait orienter durablement les modalités de l’affrontement guerrier au cours du XXe siècle et, au-delà, modifier de fond en comble la relation des Occidentaux à l’activité guerrière proprement dite.
C’est dire toute l’importance des violences de champ de bataille et de leur évolution en 1914-1918, elles-mêmes inséparables de leur perception dans l’instant, puis de leur mémoire après l’armistice du 11 novembre 1918.
Au cours des mois d’août et septembre 1914, à l’Est comme à l’Ouest de cette première phase de la guerre, la sous-estimation des effets du feu fut particulièrement déterminante : elle explique les pertes effroyables des premières semaines de combat…