Au premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.
Un décret de 1810, leur donne droit, en temps de guerre, aux soins gratuits dans les hôpitaux militaires, remboursement des frais étant effectués par leur corps d’origine.
Leur nombre a été fixé par un arrêté de l’An VIII qui prescrit par ailleurs que ces femmes doivent être des citoyennes de bonnes manières, mariées à des soldats ou sous-officiers en activité de service, reconnues les plus actives, les plus utiles aux troupes, et « dont la conduite et les mœurs est des plus régulières. »
Les cantinières et vivandières n'ont jamais eu d'uniforme établit par les règlements ; il faudra attendre l'époque Louis-Philippe et le Second-Empire pour voir apparaître des "tenues de corps". Ce n'est vraiment sous la Ille république que ces dames auront une tenue réglementée. De la Révolution à l'Empire, cantinières et vivandières auront des tenues civiles agrémentées parfois d'éléments militaires comme des bottes. des guêtres, un bonnet de police, voir une pelisse.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
2021 - Napoléon Bonaparte*
Vivandières, cantinières et blanchisseuses
RépondreSupprimerAu premier rang des femmes qui partagèrent la vie quotidienne des soldats, ces femmes robustes qui, rarement, inspiraient d’autre tendre sentiment que la reconnaissance: les cantinières et les vivandières.
Un décret de 1810, leur donne droit, en temps de guerre, aux soins gratuits dans les hôpitaux militaires, remboursement des frais étant effectués par leur corps d’origine.
RépondreSupprimerLeur nombre a été fixé par un arrêté de l’An VIII qui prescrit par ailleurs que ces femmes doivent être des citoyennes de bonnes manières, mariées à des soldats ou sous-officiers en activité de service, reconnues les plus actives, les plus utiles aux troupes, et « dont la conduite et les mœurs est des plus régulières. »
Les cantinières et vivandières n'ont jamais eu d'uniforme établit par les règlements ; il faudra attendre l'époque Louis-Philippe et le Second-Empire pour voir apparaître des "tenues de corps". Ce n'est vraiment sous la Ille république que ces dames auront une tenue réglementée.
RépondreSupprimerDe la Révolution à l'Empire, cantinières et vivandières auront des tenues civiles agrémentées parfois d'éléments militaires comme des bottes. des guêtres, un bonnet de police, voir une pelisse.