À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s'organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs. Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.
Jean-Marc Mellier peint des femmes “A seize ans, j’ai produit un travail sur la vierge “à l’Hôtel d’Albray” se rapppellet-il dans le début de son art. Sa technique, solidement basée sur une étude poussée de la composition, il travaille d’après ses cartons, est soutenue par un graphisme original et précis sans être ennuyeux. je pars du principe que toute chose est bonne à utiliser, un verre, un bocal… Quelque soit mon sujet, je fais mes compositions moi-même. Je travaille d’après un carton qui me sert de logo, plusieurs œuvres sont issues de ça travail, ainsi le carton des Bayadères m’a permis de réaliser les boudeuses.
À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s'organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs.
RépondreSupprimerDu monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.
Jean-Marc Mellier peint des femmes “A seize ans, j’ai produit un travail sur la vierge “à l’Hôtel d’Albray” se rapppellet-il dans le début de son art.
RépondreSupprimerSa technique, solidement basée sur une étude poussée de la composition, il travaille d’après ses cartons, est soutenue par un graphisme original et précis sans être ennuyeux. je pars du principe que toute chose est bonne à utiliser, un verre, un bocal… Quelque soit mon sujet, je fais mes compositions moi-même. Je travaille d’après un carton qui me sert de logo, plusieurs œuvres sont issues de ça travail, ainsi le carton des Bayadères m’a permis de réaliser les boudeuses.