Vita Sackville-West Poétesse Victoria Mary Sackville-West, Lady Nicolson, plus connue sous le nom de Vita Sackville-West, née le 9 mars 1892 et morte le 2 juin 1962, est une poétesse, romancière, essayiste, biographe, traductrice et jardinière britannique. Son long poème narratif, The Land, reçoit le prix Hawthornden en 1927.
Le roman de Vita « Challenge » témoigne de cette histoire : Vita Sackville-West et Violet Trefusis commencèrent à écrire le livre ensemble, le personnage masculin, Julian, étant le surnom de Vita quand elle se faisait passer pour un homme. Sa mère, Lady Sackville, trouva l’autoportrait assez évident pour demander que le roman ne paraisse pas en Angleterre, son fils Nigel, cependant, en fait l’éloge :
« Elle s’est battue pour le droit d’aimer, hommes et femmes, rejetant les conventions selon lesquelles le mariage exige l’amour exclusif, et que les femmes ne devraient aimer que les hommes, et les hommes uniquement les femmes. Pour cela, elle était prête à tout abandonner… Comment pourrait-elle regretter que ce savoir puisse atteindre les oreilles d’une nouvelle génération, qui plus est infiniment plus compréhensive que la sienne ? «
Vita Sackville-West
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Victoria Mary Sackville-West, Lady Nicolson, plus connue sous le nom de Vita Sackville-West, née le 9 mars 1892 et morte le 2 juin 1962, est une poétesse, romancière, essayiste, biographe, traductrice et jardinière britannique. Son long poème narratif, The Land, reçoit le prix Hawthornden en 1927.
Le roman de Vita « Challenge » témoigne de cette histoire : Vita Sackville-West et Violet Trefusis commencèrent à écrire le livre ensemble, le personnage masculin, Julian, étant le surnom de Vita quand elle se faisait passer pour un homme. Sa mère, Lady Sackville, trouva l’autoportrait assez évident pour demander que le roman ne paraisse pas en Angleterre, son fils Nigel, cependant, en fait l’éloge :
RépondreSupprimer« Elle s’est battue pour le droit d’aimer, hommes et femmes, rejetant les conventions selon lesquelles le mariage exige l’amour exclusif, et que les femmes ne devraient aimer que les hommes, et les hommes uniquement les femmes. Pour cela, elle était prête à tout abandonner… Comment pourrait-elle regretter que ce savoir puisse atteindre les oreilles d’une nouvelle génération, qui plus est infiniment plus compréhensive que la sienne ? «