vendredi 26 mars 2021

2021 - Carré Napoléon Bonaparte, un œil sur l'océan*

Napoléon Bonaparte, un œil sur l'océan*

3 commentaires:

  1. Je veux faire une nouvelle carrière, laisser des travaux, des découvertes dignes de moi
    Napoléon

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  2. Napoléon se confie ainsi а son médecin, O’meira (qui va indigner l’Angleterre en rapportant а quel point le gouverneur de Sainte-Hélène se comporte d’une manière atroce avec son prisonnier):
    «Si j’étais allé en Amérique, j’aurais fait de l’agriculture, j’aurais soigné mon jardin, j’aurais accueilli quelques vieux débris de mon armée qui seraient venus m’y retrouver et nous eussions vécu ensemble. Ca vous fait rire, docteur! Mes goûts sont simples, j’ai besoin de peu; j’ai toujours envié le sort d’un bon bourgeois de Paris, riche de 12.000 livres de rente, pouvant cultiver les arts et les lettres; j’y ajoute le bonheur intérieur de famille, sans lequel il n’est point de bonheur possible, dans quelque classe qu’on se trouve.»

    Il faut que je meure ici ?, que la France vienne m'y chercher
    “Napoléon à Saint-Hélène”

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  3. Au fil des années, Napoléon ne sort plus de Longwood, refuse les visites et passe de plus en plus de temps seul dans sa chambre. Il souffre du manque de nouvelles de son fils. Certains membres de son entourage quittent l’île et rejoignent l’Europe, le général Gourgaud en 1818, madame de Montholon en 1819. En décembre 1816, Las Cases et son fils sont expulsés de l’île pour avoir tenté de faire passer des lettres en secret.

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