Napoléon victorieux de justesse à Wagram L'armée échappe difficilement au piège de Lobau et, le 5 juillet, affronte enfin l'armée de l'archiduc Charles, frère de l'empereur d'Autriche.
Une charge de MacDonald, Davout et Bernadotte tente de prendre les Autrichiens de vitesse, mais elle est arrêtée net en raison d'échanges de tirs malencontreux entre alliés saxons et italiens ; ce sont les premiers signes de faiblesse d'une armée (ex-Grande Armée) constituée en bonne partie de conscrits étrangers et peu aguerris. La décision finale est reportée au lendemain.
Le 6 juillet enfin, une grande batterie de 102 canons sous les ordres du général Lauriston écrase les Autrichiens sous un orage de boulets (400 à la minute) avant que MadDonald et ses fantassins ne montent héroïquement à la charge. Incapable d'achever le travail, la Garde ne permettra pas de transformer la défaite autrichienne en déroute...
Cette victoire à l'arraché permet tout de même à Napoléon d'imposer la paix à l'empereur François 1er et d'en finir avec la cinquième coalition. La «paix de Schönbrunn» est signée le 14 octobre 1809.
Bonjour à toutes et tous,
RépondreSupprimerje vous présente…
Napoléon Bonaparte Carré WAGRAM*
Napoléon victorieux de justesse à Wagram
RépondreSupprimerL'armée échappe difficilement au piège de Lobau et, le 5 juillet, affronte enfin l'armée de l'archiduc Charles, frère de l'empereur d'Autriche.
Une charge de MacDonald, Davout et Bernadotte tente de prendre les Autrichiens de vitesse, mais elle est arrêtée net en raison d'échanges de tirs malencontreux entre alliés saxons et italiens ; ce sont les premiers signes de faiblesse d'une armée (ex-Grande Armée) constituée en bonne partie de conscrits étrangers et peu aguerris. La décision finale est reportée au lendemain.
RépondreSupprimerLe 6 juillet enfin, une grande batterie de 102 canons sous les ordres du général Lauriston écrase les Autrichiens sous un orage de boulets (400 à la minute) avant que MadDonald et ses fantassins ne montent héroïquement à la charge. Incapable d'achever le travail, la Garde ne permettra pas de transformer la défaite autrichienne en déroute...
Cette victoire à l'arraché permet tout de même à Napoléon d'imposer la paix à l'empereur François 1er et d'en finir avec la cinquième coalition. La «paix de Schönbrunn» est signée le 14 octobre 1809.
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