En France, des figures trans connues et impactantes. Ainsi je vous propose de partir à la découverte de Coccinelle.
Grande, blonde, élancée, oscillant entre les esthétiques de Marilyn Monroe et Brigitte Bardot, Jacqueline Charlotte Dufresnoy débute dans le monde du spectacle au début des années 50 sous le nom de Coccinelle chez “Madame Arthur” puis au “Caroussel”, deux cabarets célèbres pour leurs revues d’artistes transformistes et travestis. Elle chante, danse, s’effeuille et s’impose en tant que meneuse de revue glamour, affolant le tout Paris de la nuit.
Toute sa vie d’artiste, elle affirme qu’elle n’a jamais eu recours à un agent ou à un impresario pour la faire connaître mais que seul le public l’a constamment sollicitée. Ainsi, sa célébrité la pousse à sortir des murs des cabarets pour s’aventurer ailleurs dans les années 60. Elle enregistre plusieurs 45 tours (dont les célèbres “Chercher la femme” et “Avec mon p’tit faux cul”) et le cinéma ne tarde pas à lui faire de l’oeil. Ces premiers pas cinématographique se font dans le documentaire “Nuits d’Europe” d’Alessandro Blasetti sortie en 1959. Elle jouera ensuite ses propres rôles dans “Les Don Juan de la côte d’Azur” de Vittoro Sala et “Los Viciosos” tous deux sortis en 1962. Elle tournera dans d’autres documentaires et quelques films, essentiellement italiens.
En France, des figures trans connues et impactantes. Ainsi je vous propose de partir à la découverte de Coccinelle.
RépondreSupprimerGrande, blonde, élancée, oscillant entre les esthétiques de Marilyn Monroe et Brigitte Bardot, Jacqueline Charlotte Dufresnoy débute dans le monde du spectacle au début des années 50 sous le nom de Coccinelle chez “Madame Arthur” puis au “Caroussel”, deux cabarets célèbres pour leurs revues d’artistes transformistes et travestis. Elle chante, danse, s’effeuille et s’impose en tant que meneuse de revue glamour, affolant le tout Paris de la nuit.
Toute sa vie d’artiste, elle affirme qu’elle n’a jamais eu recours à un agent ou à un impresario pour la faire connaître mais que seul le public l’a constamment sollicitée. Ainsi, sa célébrité la pousse à sortir des murs des cabarets pour s’aventurer ailleurs dans les années 60. Elle enregistre plusieurs 45 tours (dont les célèbres “Chercher la femme” et “Avec mon p’tit faux cul”) et le cinéma ne tarde pas à lui faire de l’oeil. Ces premiers pas cinématographique se font dans le documentaire “Nuits d’Europe” d’Alessandro Blasetti sortie en 1959. Elle jouera ensuite ses propres rôles dans “Les Don Juan de la côte d’Azur” de Vittoro Sala et “Los Viciosos” tous deux sortis en 1962. Elle tournera dans d’autres documentaires et quelques films, essentiellement italiens.