Maurice Chevillard En 1911, alors qu’il dirige le centre d’essais des frères FARMAN à Toussus-le-Noble (aujourd’hui dans les Yvelines, après avoir été en Seine-et-Oise et dans l’Essonne), Maurice Chevillard aurait, selon certaines sources, réussi à boucler un « looping », ce qui est peu vraisemblable. C’est plus souvent à Adolphe PÉGOUD, le 31 août 1913 à Buc (Seine-et-Oise, aujourd’hui Yvelines) aux commandes d’un « Blériot », voire même au russe Piotr NASTEROV, quatre jours auparavant aux commandes d’un « Nieuport », que la première de cette acrobatie aérienne a été attribuée. La suite de sa vie semble ne pas avoir laissé beaucoup de traces. Il continuera sa carrière d’aviateur professionnel jusqu’à la fin des années 1920. Il deviendra vice-président de l’Aéro-club de Mantes-la-Jolie. Il meurt à l’âge de 55 ans.
Maurice Chevillard
RépondreSupprimerEn 1911, alors qu’il dirige le centre d’essais des frères FARMAN à Toussus-le-Noble (aujourd’hui dans les Yvelines, après avoir été en Seine-et-Oise et dans l’Essonne), Maurice Chevillard aurait, selon certaines sources, réussi à boucler un « looping », ce qui est peu vraisemblable. C’est plus souvent à Adolphe PÉGOUD, le 31 août 1913 à Buc (Seine-et-Oise, aujourd’hui Yvelines) aux commandes d’un « Blériot », voire même au russe Piotr NASTEROV, quatre jours auparavant aux commandes d’un « Nieuport », que la première de cette acrobatie aérienne a été attribuée.
La suite de sa vie semble ne pas avoir laissé beaucoup de traces. Il continuera sa carrière d’aviateur professionnel jusqu’à la fin des années 1920. Il deviendra vice-président de l’Aéro-club de Mantes-la-Jolie.
Il meurt à l’âge de 55 ans.