En 1909, à 18 ans, Max LE VERRIER part pour l’Angleterre où il peine en tant qu’étranger à trouver du travail. Employé d’abord quelques temps dans une société de décoration et d’installations électriques, il découvre ensuite le monde héroïque de l’aviation grâce à la rencontre d’un français appelé Jameson. Ensemble ils achètent un avion à crédit et ouvrent une école d’aviation à Hendon dans la banlieue de Londres, bientôt rejoints par un jeune aviateur anglais fortuné, George Lee Temple.
Max répare et met au point les appareils et les moteurs, mais il s’entraîne également sur Blériot (type « Traversée de la Manche »), puis sur Breguet, tente quelques vols et obtient son brevet de pilote en 1913.
En 1909, à 18 ans, Max LE VERRIER part pour l’Angleterre où il peine en tant qu’étranger à trouver du travail. Employé d’abord quelques temps dans une société de décoration et d’installations électriques, il découvre ensuite le monde héroïque de l’aviation grâce à la rencontre d’un français appelé Jameson. Ensemble ils achètent un avion à crédit et ouvrent une école d’aviation à Hendon dans la banlieue de Londres, bientôt rejoints par un jeune aviateur anglais fortuné, George Lee Temple.
RépondreSupprimerMax répare et met au point les appareils et les moteurs, mais il s’entraîne également sur Blériot (type « Traversée de la
Manche »), puis sur Breguet, tente quelques vols et obtient son brevet de pilote en 1913.