Gustave CAILLEBOTTE* Gustave Caillebotte et Yerres Gustave a 12 ans lorsque la famille Caillebotte s’installe à Yerres. Ce passage à Yerres s’avère crucial dans sa formation et son inspiration picturale. Son père, Martial Caillebotte, est alors un chef d’entreprise aux affaires florissantes qui fournit de la toile de drap aux armées. Il procède, dés son acquisition, à l’embellissement du parc et de la Propriété.
Il n'a peut être pas le génie des couleurs de Monet, du coup de crayon de Toulouse Lautrec ou de Degas mais si comme moi vous restez scotché devant "les raboteurs de parquet" au Musée d'Orsay, vous aurez compris l'importance de ce peintre. Son frère était photographe et ses toiles sont faites comme une photographie, il n'y a pas la légèreté d'un Pissaro ou d'un Sisley, ou la folie d'un Van gogh, mais que c'est beau...
Gustave CAILLEBOTTE*
RépondreSupprimerGustave Caillebotte et Yerres
Gustave a 12 ans lorsque la famille Caillebotte s’installe à Yerres. Ce passage à Yerres s’avère crucial dans sa formation et son inspiration picturale. Son père, Martial Caillebotte, est alors un chef d’entreprise aux affaires florissantes qui fournit de la toile de drap aux armées. Il procède, dés son acquisition, à l’embellissement du parc et de la Propriété.
Il n'a peut être pas le génie des couleurs de Monet, du coup de crayon de Toulouse Lautrec ou de Degas mais si comme moi vous restez scotché devant "les raboteurs de parquet" au Musée d'Orsay, vous aurez compris l'importance de ce peintre. Son frère était photographe et ses toiles sont faites comme une photographie, il n'y a pas la légèreté d'un Pissaro ou d'un Sisley, ou la folie d'un Van gogh, mais que c'est beau...
RépondreSupprimerLa modernité de Caillebotte apparaît davantage dans le choix des sujets empruntés à la vie contemporaine, à Paris…
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