Tuée à Arlon. Marie Hurieaux vit fusiller son mari et cent quinze de ses concitoyens et tomba la dernière en criant « Vive la Belgique » « Vive la France »
Par un raffinement de cruauté, Mme Huriaux est fusillée la dernière. Elle avait été précédée au poteau fatal d’un vieillard de quatre-vingt ans, de huit septuagénaires, d’un jeune homme paralysé qui fut enterré avec sa béquille. Ce jour-là il y eut à Rossignol soixante-quatre veuves, parmi lesquelles six jeunes femmes mariées en 1914, et cent-quarante-deux orphelins.
Tuée à Arlon. Marie Hurieaux vit fusiller son mari et cent quinze de ses concitoyens et tomba la dernière en criant « Vive la Belgique » « Vive la France »
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