“Robert de Toulouse-Lautrec Montfa (1887-1972) aviateur de la Première Guerre mondiale et homme politique d'Ille-et-Vilaine, De pilote en 1915, il devient chef-pilote de la F-45 en septembre 1917, puis chef d‘escadrille en mars 1918 et commandant de la BR 281 jusqu’à novembre 1918. Il termine la guerre au grade de capitaine à titre temporaire, avec quatre citations[6], dont une signée de Georges Clemenceau, il est chevalier de la légion d’honneur depuis le 7 juillet 1918. Réserviste entre les deux guerres Le capitaine de réserve Robert de Toulouse-Lautrec se voit délivrer une attestation, datée du 9 avril 1934 et émanant du Ministère de l’Air, stipulant qu’il est toujours recensé en tant que personnel navigant de la réserve, au grade de capitaine rattaché au centre de mobilisation n°31 (Chartres). Le 22 avril de cette même année, il est élevé au grade de commandant, chef de bataillon dans la réserve. Le 4 juillet, il reçoit la croix du combattant volontaire.
“Robert de Toulouse-Lautrec Montfa (1887-1972) aviateur de la Première Guerre mondiale et homme politique d'Ille-et-Vilaine,
RépondreSupprimerDe pilote en 1915, il devient chef-pilote de la F-45 en septembre 1917, puis chef d‘escadrille en mars 1918 et commandant de la BR 281 jusqu’à novembre 1918. Il termine la guerre au grade de capitaine à titre temporaire, avec quatre citations[6], dont une signée de Georges Clemenceau, il est chevalier de la légion d’honneur depuis le 7 juillet 1918.
Réserviste entre les deux guerres
Le capitaine de réserve Robert de Toulouse-Lautrec se voit délivrer une attestation, datée du 9 avril 1934 et émanant du Ministère de l’Air, stipulant qu’il est toujours recensé en tant que personnel navigant de la réserve, au grade de capitaine rattaché au centre de mobilisation n°31 (Chartres). Le 22 avril de cette même année, il est élevé au grade de commandant, chef de bataillon dans la réserve. Le 4 juillet, il reçoit la croix du combattant volontaire.