jeudi 27 novembre 2025

2025 - Art'i'Chaut - Le DIXMUDE, Tragédie* ©Mai 2025, jamais présentés

Mine de plomb, 24x32 cm, LEVESQUE
Georges, Etienne, Lieutenant de Vaisseau
2025 - Art'i'Chaut - Le DIXMUDE, Tragédie* 


Publié par à

3 commentaires:

  1. Jean-Marc Mellier27 novembre 2025 à 21:18

    LEVESQUE Georges, Etienne,
    Lieutenant de Vaisseau
    Naissance : 23/04/1894 à Orléans (Loiret)
    Entré en service : 01/10/1911
    Origine : École navale

    Informations relatives au décès
    Grade : Lieutenant de vaisseau
    Affectation : Cuirassé Provence
    Fonction : En mission à bord du dirigeable Dixmude
    Date : 21/12/1923 Age : 29 ans
    Lieu : Entre l'île de Pantellaria et la Sicile.

    RépondreSupprimer
  2. Jean-Marc Mellier27 novembre 2025 à 21:18

    Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  3. Jean-Marc Mellier27 novembre 2025 à 21:20

    MORT DANS L'ACCOMPLISSEMENT DE SON DEVOIR
    Circonstances du décès
    Dirigeable Dixmude : LV du Plessis de Grénédan, LV Bourdier, Marcaggi et Adrien Roustan
    Passagers : CV Yvon, CF Hennique, CC Berretta, Lefranc et Renon, LV Convents, Goislard de La Droitière, Lévesque, Henri Roustan, médecin de 1ère classe Pélissier.

    Le nom Dixmude vient de la ville belge qui avait été héroïquement défendue par des fusiliers marins français en 1914, à l’époque il s’agit du plus grand dirigeable du monde.
    21 décembre 1923 – C’est cette nuit là que se produit la plus grave catastrophe de l’aéronautique militaire de notre pays. Le 18 décembre 1923, le dirigeable Dixmude, ex Zeppelin L-72 qui avait été remis à la France par l’Allemagne au titre des dommages de guerre, quitte sa base de Cuers-Pierrefeu pour un raid d’essai sans escale au-dessus du Sahara avec cinquante personnes à son bord. Il atteint In-Salah dans les délais prévus et entame son voyage de retour. Son dernier message le positionne au-dessus de la Tunisie et il n’y en aura pas d’autres. Vers 2 h 30 du matin, alors que le dirigeable passe au large de la Sicile, des pêcheurs aperçoivent dans le ciel les lueurs d’un vif incendie. Probablement frappé par la foudre qui a enflammé ses ballonnets d’hydrogène, le Dixmude et tout son équipage s’abîment en mer à quelques miles au large du petit port de Sciacca. Les recherches lancées par la Marine italienne et par des bâtiments français venus de Bizerte ne permettent pas de retrouver de survivants, ni même de corps. Ce n’est que le 26 qu’un pêcheur remonte dans ses filets le corps du commandant, le LV du Plessis de Grenédan. Un autre corps, celui du QM Guillaume sera retrouvé ultérieurement. Cette catastrophe a fait cinquante victimes.

    RépondreSupprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)