La vie à Sainte-Hélène, pour un homme qui a régné sur un empire, est peu à peu déprimante. Napoléon ne peut se promener librement que dans un périmètre restreint et sous la surveillance de plusieurs militaires britanniques, sa maison est surveillée nuit et jour, sa correspondance est ouverte. Le gouverneur de l’île, sir Hudson Lowe, est un geôlier impitoyable, obsédé par la crainte d’une évasion de Napoléon. Après tout, il s’est déjà échappé de l’île d’Elbe en mars 1815, où il avait été exilé une première fois en 1814 ! L’île de Sainte-Hélène est ainsi gardée par trois mille hommes, et quatre navires sillonnent en permanence ses abords afin de prévenir un débarquement.
Bonjour à toutes et tous, je vous présente… Napoléon Bonaparte scrutant l'horizon depuis les côtes de l'île de Sainte-Hélène*
La vie à Sainte-Hélène Une vingtaine de personnes suivent Napoléon dans cet exil. Il y a là le général et grand maréchal du Palais Bertrand, (avec sa femme Fanny et leurs trois enfants), le général de Montholon (avec sa femme Albine et leur fils), le général Gourgaud, et le comte Las Cases (le seul homme à parler parfaitement anglais) avec son fils. Parmi les domestiques, figurent son premier valet de chambre Louis Marchand, Louis Etienne Saint-Denis (appelé le mamelouk Ali), et son maître d’hôtel « un peu espion » Cipriani qui connaît Napoléon depuis l’enfance. Malgré les restrictions anglaises, Napoléon peut emporter avec lui un peu de mobilier et de vaisselle issus des palais impériaux, ainsi que des tableaux et souvenirs de sa famille, comme un portrait de son fils, le roi de Rome.
La vie à Sainte-Hélène, pour un homme qui a régné sur un empire, est peu à peu déprimante. Napoléon ne peut se promener librement que dans un périmètre restreint et sous la surveillance de plusieurs militaires britanniques, sa maison est surveillée nuit et jour, sa correspondance est ouverte. Le gouverneur de l’île, sir Hudson Lowe, est un geôlier impitoyable, obsédé par la crainte d’une évasion de Napoléon. Après tout, il s’est déjà échappé de l’île d’Elbe en mars 1815, où il avait été exilé une première fois en 1814 ! L’île de Sainte-Hélène est ainsi gardée par trois mille hommes, et quatre navires sillonnent en permanence ses abords afin de prévenir un débarquement.
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Napoléon Bonaparte scrutant l'horizon depuis les côtes de l'île de Sainte-Hélène*
La vie à Sainte-Hélène
Une vingtaine de personnes suivent Napoléon dans cet exil. Il y a là le général et grand maréchal du Palais Bertrand, (avec sa femme Fanny et leurs trois enfants), le général de Montholon (avec sa femme Albine et leur fils), le général Gourgaud, et le comte Las Cases (le seul homme à parler parfaitement anglais) avec son fils. Parmi les domestiques, figurent son premier valet de chambre Louis Marchand, Louis Etienne Saint-Denis (appelé le mamelouk Ali), et son maître d’hôtel « un peu espion » Cipriani qui connaît Napoléon depuis l’enfance. Malgré les restrictions anglaises, Napoléon peut emporter avec lui un peu de mobilier et de vaisselle issus des palais impériaux, ainsi que des tableaux et souvenirs de sa famille, comme un portrait de son fils, le roi de Rome.